Ce que l'on savait: Dépression, anxiété, obsessions, compulsions et dysrégulation des affects sont fréquents et pourraient constituer des cibles thérapeutiques.
Ce que l'on apprend: De nombreuses structures cérébrales sont en fait impliquées dans l’anorexie, mais semblent converger autour de structures limbiques clés.
Ce que l'on en déduit: Les premières études de stimulations intracrâniennes n’ont pour le moment ciblées que deux structures, de nombreuses autres candidats existent.
Référence: Lipsman et al. (2014) Neurocircuitry of limbic dysfunction in anorexia nervosa, Cortex, http://dx.doi.org/10.1016/j.cortex.2014.02.020
Philip Gorwood