Ce que l’on sait : L’activité physique, par l’adaptation physiologique du métabolisme qu’elle provoque, pourrait être un facteur protecteur dans certaines pathologies chroniques.
Ce que l’on apprend : Via des régulations des taux d’oestrogènes, de leptine, de corticostérone et de gréline en réponse à la restriction alimentaire sévère, l’activité physique pourrait constituer un facteur protecteur chez les patientes anorexiques.
Ce que ça change : L’exercice physique modéré et contrôlé chez les patientes anorexiques pourrait avoir un effet bénéfique sur leur évolution notamment sur un plan nutritionnel.
Référence : Mathieu Méquinion, Emilie Caron, Sara Zgheib, Aliçia Stievenard,Philippe Zizzari,Virginie Tolle, Bernard Cortet, Stéphanie Lucas, Vincent Prévot,Christophe Chauveau,and Odile Viltart (2014) Physical activity: benefit or weakness in metabolic adaptations in a mouse model of chronic food restriction?Am J Physiol Endocrinol Metab 308: E241–E255.
Souris en milieu :
Libre Libre + exercice En restriction restriction + exercice
Hanna HATTEEA