Ce que l’on sait : On connait la forte prévalence de l’obésité infantile dans le monde occidental et la difficulté de la prise en charge familiale
Ce que l’on apprend : L’obésité chez les animaux de compagnie a également énormément progressé dans les pays dits développés (chiens : 30 à 60 % de surpoids ; chats : 11 à 45.5%). Le comportement addictif à la nourriture serait similaire chez les couples enfants- parents, et pets-pets parents
Ce que cela change : L’idée est de développer des modèles « Addictologie » dans la prise en charge des obésités infantiles (comme dans les modèles Pets).
Ce qui manque : Le rapport des deux types d’obésité avec le niveau social.
Référence : Similarities between obesity in pets and children: the addiction model. Robert A. Pretlow and Ronald J. Corbee. British Journal of Nutrition (2016), 116, 944–949
Georges Picherot - CHU Nantes -