Ce que l’on sait : Il existe des modifications de volume dans certaines régions cérébrales chez les patientes anorexiques qui pourraient être impliquées dans la physiopathologie du trouble
Ce que l’on apprend : L’augmentation de volume au niveau du cortex orbitofrontal médian chez les anorexiques avant et après guérison prédirait la cotation du plaisir au gout sucré
Ce que ça change : Cette différence anatomique pourrait sous tendre une expérience sensorielle trop intense face à certains aliments palatables, expliquant certains comportements d’évitement alimentaire
Référence: Frank et al. Alterations in brain structures related to taste reward circuitry in ill and recovered anorexia nervosa and bulimia nervosa. Am J Psychiatry 2013 Oct 1;170(10):1152-60. doi:10.1176/appi.ajp.2013.12101294